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Ouvrages présentés sur cette page
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La Partita

L'espionne Ottomane

L'Oracle della Luna

L'Or de Venise

L'enfant de Venise

Tornade sur Venise

Vaporetto 13

Venise en hiver

Le sang de Venise

Le Gondolier d’Elisheva

Le Testament du Titien

La Reine Vénitienne

Peggy Guggenheim

Lavinia Disparue

Le Rendez-vous de Venise

La taverne du Doge Loredan

Le nain des Noces de Cana de Véronèse

Le Masque de Venise

La mort à Venise

Venise noire

Les Brumes pourpres de Venise

Le roman de Venise

 

Éditions : Pygmalion

La Reine Vénitienne

Silvia Alberti de Mazzeri

Présentation de l'éditeur :  C'est un destin inouï que raconte Silvia Alberti de Mazzeri dans ce roman somptueux: l'histoire authentique de Catherine Cornaro, fille d'un noble marchand appartenant à l'une des plus anciennes et illustres familles de Venise.
Novice au couvent de Padoue, elle devient soudain reine lorsque le roi de Chypre, tombé amoureux de son portrait, lui envoie son ambassadeur pour la demander en mariage. La belle adolescente aux cheveux blonds comme le miel et aux yeux d'azur embarque alors pour un périple. A Chypre, elle découvre bientôt que les amours les plus pures se mêlent aux intrigues politiques les plus noires. Devenue veuve après un an de mariage et proclamée régente au nom de son fils, elle se retrouve, amante et sirène, plongée au c?ur d'un jeu politique compliqué: le royaume de Naples et la République de Venise voulant tous deux s'emparer de l'île pour mieux lutter contre les Turcs.
Dans un paradis terrestre, au milieu de jardins tapissés de roses rouges de Byzance et sous un ciel toujours bleu, la passion amoureuse et le sens de l'honneur la déchirent tandis que la cruauté règne autour d'elle: les meurtres par empoisonnement s'accumulent, le sang coule à flots, les trahisons se multiplient. Dans une langue riche et envoûtante, Silvia Alberti de Mazzeri ressuscite un monde tantôt musical et enchanteur, tantôt âpre et cruel, niais toujours captivant.
La Renaissance vénitienne, fastueuse et guerrière, n'en finit pas de nous éblouir
!.

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Décidément, Caterina Cornaro fait couler beaucoup d'encre!
Voici un nouvel essai sur son incroyable destinée...
Stef* sur le forum le 12/10/08

je viens de terminer la lecture de ce très beau roman..et j'en suis bien triste car j'aurais bien aimé que cette histoire continue...mais le destin avait choisi avant moi..
Mise à part l'histoire bien documentée et qui nous tient en haleine tout en nous donnant le plaisir de reconnaître au passage des personnages qui ne nous sont pas étrangers, je dirai que c'est loin d'être un roman en noir et blanc! Au contraire, LA couleur est présente partout : vêtements, palais, tableaux, jardins...( ah, les roses rouges Very Happy Very Happy )fleurs, fruits... animaux...c'est un déploiement de fastes ..un caléidoscope....vénitien...... amour, gloire, beauté...et haine souveraine.....je recommande...
Danielle sur le forum le 18/01/09

Je viens de finir « La Reine Vénitienne » et je suis partagée pour en parler.

Durant tout la lecture, je n’ai pu me départir d’une réticence – voir d’une méfiance - certaine : comment faire coïncider cette femme à la beauté somptueuse avec la dame revêche du portrait de Bellini. Gentile nourrissait-il une rancune tenace contre la reine de Chypre pour l’avoir peinte de la sorte si elle était si belle, ou bien était-il tout simplement fidèle à la réalité ? Titien lui, semble plus bienveillant …

Bien sur, bien sur, si on fait fi de toute exigence historique, alors, on peut se laisser aller au plaisir de lire un bon roman historique, saupoudré de références néo-platoniciennes en vogue à l’époque … Tout y est réuni dans une même coupe, le sirop, le sang et le poison, la passion, la guerre, l’amour, la trahison, l’honneur, l’intrigue, le fer et le feu … enfin, vous connaissez bien tout ça et j’ai la faiblesse d’aimer le genre. Faiblesse passagère. On sort de cette lecture avec l’urgent besoin de lire une biographie annotée de références historiques solides et incontestables … Si vous voulez du roman, lisez de l’histoire !!!
Je veux bien qu’on m’indique un tel livre : en fait, j’ai vraiment hâte d’en savoir plus …

A lire, comme on boirait un vin doux de Chypre, le temps d’un soir ou deux … Mais, le vin de Chypre est très bon.
Blandine sur le forum le 21/02/09

Je n'ai pas encore lu...
Sur le sujet, il y a le "Catherine Cornaro, reine de Chypre" du très sérieux Marcel Brion. Mais l'ouvrage a bien 60 ans....
Sinon Amable de Fournoux a écrit une biographie de Caterina il y a quelques temps.
On en avait parlé sur le forum.
Véra da Pozzo sur le forum le 21/02/09

Zen coeur

 

 

 

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Éditions : Payot

Peggy Guggenheim "un fantasme d'éternité"

Véronique Chalmet

 

Présentation de l'éditeur :  C'est aussi parce qu'elle avait un physique ingrat que Peggy Guggenheim (1898-1979) fut toute sa vie en quête de beauté absolue. Riche héritière d'un père disparu prématurément dans le naufrage du Titanic, elle fut certes une grande prêtresse de l'art contemporain, mais surtout une provocatrice à la sensualité débridée dont la trajectoire turbulente croisa celle des génies de son temps, d'Ernest Hemingway à Truman Capote, de Jean Cocteau à Salvador Dali...
Excentrique, sadomasochiste et bisexuelle, libertine impénitente et grande voyageuse, muse ratée mais collectionneuse visionnaire qui contribua à révéler les peintres Mark Rothko et Jackson Pollock, elle vécut sur un mode paroxystique et volontiers orgiaque, séduisant au passage Max Ernst, son second époux, mais aussi Marcel Duchamp, Yves Tanguy ou encore Samuel Beckett.

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Intéressant d'en savoir plus sur ce personnage inattendu qui passa les 30 dernières années de sa vie dans son palais de Venise. La société vénitienne mit plus de 10 ans avant d'accepter ou de tolérer celle que l'on surnomma la dernière dogaresse.

Vera da Pozzo sur le forum le 08/03/09

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Éditions : Anacharsis

La Partita

Alberto Ongaro

Présentation de l'éditeur :  Nihil ou Totum : sur un coup de dés, Francesco Sacredo, jeune aristocrate vénitien, mise sa propre personne pour tenter de récupérer sa fortune, entièrement perdue par son père au profit de la borgne et vénéneuse Comtesse von Wallenstein. Il perd.
Mais plutôt que de livrer son corps à la gagnante comme convenu, il s’enfuit, aussitôt poursuivi par les spadassins de l’Allemande, les frères Podesta, de redoutables assassins rusés et obstinés.

Ainsi cette partita se poursuit-elle grandeur nature, au rythme de la course effrénée de Francesco à travers les états d’une Italie du XVIIIe siècle plongée dans un glacial hiver. La mort aux trousses, le jeune homme, réduit à l’état de proscrit condamné à fuir encore et encore, tâche pourtant de rendre coup pour coup à la comtesse, invisible et lointaine mais toujours sur ses talons.
Astreint à user des maigres moyens dont il dispose, il ourdit machinations et embûches – il sait notamment user de séduction, au besoin –, mais trébuche, ou s’épuise, se révolte parfois, pour repartir de plus belle sur un échiquier mouvant dont les pièces sont de chair et de sang. Comme si ce jeu de la vie et de la mort ne devait jamais prendre fin.

Alberto Ongaro a publié de nombreux romans en Italie, tous salués par le public comme par la critique ; c’est qu’il s’agit d’une œuvre cousine de celles de Borges ou Buzzatti dont la puissance romanesque commence à enthousiasmer les lecteurs français. Ainsi, Culturesfrance et la Maison des écrivains et de la littérature ont invité Alberto Ongaro en France parmi vingt-sept écrivains européens dans le cadre de la Saison culturelle européenne (fin 2008).

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Evil or Very Mad

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La Partita, c'est le récit d'une course-poursuite ininterrompue de plusieurs mois à travers l'Europe pendant laquelle les coups de théâtre et autres rebondissements seront légion.
Ongaro fait preuve d’une grande virtuosité narrative en construisant un récit à la première personne dans lequel on ressent véritablement les divers sentiments qui animent le personnage dont on se demande jusqu'au bout s'il vit dans la réalité ou dans les élucubrations de son esprit tourmenté. L'auteur sait aussi se montrer coquin... avec un raffinement bien assorti l'esprit du XVIII e siècle.
Cette "Partita" a été récompensée par le Prix CAMPIELLO"


Danielle sur le forum le 22/10/08

"Rien n'est aussi présent qu'une chose qui doit arriver mais qui n'est pas encore arrivée"

C'est sur ces mots que se termine le roman de Ongaro.
Le roman...oui,
mais certainement pas cette partita!
Elle est sans fin cette partita...

Sur un seul coup de dés, un jeune et bel héritier se voit proposer de regagner l'immense fortune familiale
perdue au jeu à la diable par son père...ou de donner son âme et surtout...son corps à une comtesse usée et rouée au jeu.
Il joue, perd et contre toute attente s'enfuit...
La comtesse lui lance aux trousses ses deux plus féroces limiers: les frères Podestà.

La partita de commencer...
Imaginer les ruses de l'ennemi pour mieux les déjouer et s'en réjouir...
La partita de ne jamais finir...
Se réjouir de ses victoires et à l'instant même douter et penser
que c'est l'ennemi qui vous donne du mou pour le plaisir de hausser le jeu, de renchérir!
Tout serait-il joué d'avance?
Ainsi seules compteraient donc les éphémères victoires, petites ou grandes,
seuls importeraient les bonheurs quotidiens, grands ou petits?

Tout cela ressemble furieusement à nos propres existences.

Une lancinante partita que celle de Ongaro,
avec des personnages comme il en a depuis longtemps le secret:
une comtesse allemande, Mathilde von Wallenstein; un vieux majordome, Mucamo;
Benedetta, Olivia, quatre fesses, deux paires de seins; Virginio le patron du Pescatore del Trebbia;
un abbé fabricant d'improbables dentiers; un prince, Federico Benvoglio Cerimonia, quatre-vingt-deux ans,
et Carlotta sa très jeune épouse agée de...quatre ans;
leurs fidèles serviteurs, deux colosses turcs, Bechir et Hadchiwad;
Luigi Lupino et sa troupe de théâtre; Don serafino le nain joueur...

Que du beau linge pour vous inciter à entrer dans cette partita...

Stef* sur le forum le 18/03/09

Le chemin initiatique d’un jeune patricien, qui, exilé de Venise, revient pour découvrir qu’il a tout perdu. Et qui perd même jusqu’à lui même … La vengeance tragico-comique qui infligera à son père, donne, à elle seule, le ton du roman !!!
Dans le course haletante qu’il va poursuivre contre sa propre mort, il croisera des personnages extraordinaires, il vivra des amours éphémères, il trahira et il sera trahi, il apprendra l’amère lucidité de savoir qu’on ne maitrise que fort peu de choses et que le destin se joue de nous … dans une partie qui ne fini pas.
Fascinant … mais à lire au grand soleil, avec une joie intérieure monumentale !!! L’hivers, par temps de pluie … disons que c’est un peu oppressant …

Blandine sur le forum le 18/03/09

Barocco coeur

Zen Razz

 

 

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Éditions : Koutoubia

L'espionne Ottomane

Alain de Savigny

 

Présentation de l'éditeur :  Immense empire parvenu à son apogée dans la seconde moitié du XVIe siècle avec le sultan Soliman le Magnifique, véritable organisation multinationale avant l'heure, l'Empire ottoman a suscité frayeur et fascination parmi les populations chrétiennes d'Occident.
Entretenir des relations commerciales et politiques avec la république Sérénissime de Venise ne l'empêchait pas de grignoter petit à petit les possessions de celle-ci en Méditerranée orientale, tandis que, à la recherche d'esclaves et de butin en Méditerranée occidentale, ses corsaires barbaresques s'emparaient des navires chrétiens et des populations côtières. En même temps, récompensant l'excellence, la réussite et la fidélité, l'Empire ottoman a offert à ceux qui étaient entreprenants et compétents - sujets ottomans comme experts étrangers - d'extraordinaires opportunités d'aventures, de carrières et de richesses.
Ce sont ces opportunités que vont tenter de saisir les héros de cette histoire. Antoine de Saint-Vallier, jeune médecin provençal, saura-t-il déjouer les pièges de l'espionne ottomane, la belle Monténégrine Mirjana ? Et son ami, l'architecte vénitien Giovanni Moro retrouvera-t-il la ravissante Kabyle Salima qui lui a été enlevée ? Sur fond de rigoureuse vérité historique, ce roman nous fait voyager sur les bords de la mer Adriatique, sur les côtes d'Afrique du Nord et dans îles de la Méditerranée occidentale.
Roman d’aventures, d’amour et de guerre, l’Espionne ottomane est aussi le roman d’une histoire et d’un siècle qui vont marquer à jamais notre époque. Une découverte.

Ancien dirigeant d’entreprises multinationales et ayant lui-même habité dans plusieurs pays, Alain de Savigny s’est passionné pour l’art de faire vivre et travailler ensemble des hommes et des femmes de mentalités, de cultures et de religions différentes. Depuis de nombreuses années, il est auditeur en histoire ottomane au Collège de France, créé par François Ier au temps de Soliman, ainsi qu’à l’Ecole Pratique des Hautes Etudes, à la Sorbonne. C’est son premier roman.

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Evil or Very Mad

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Je l'ai juste feuilleté cet épais roman, je l'ai commencé par la fin car il y a une notice biographiques des principaux personnages (la famille Moro de Venise, c'est drôle les coïncidences) et puis un lexique pour les termes ottomans et aussi des cartes et une bibliographie.
C'est rare de trouver tout ça dans un roman historique.
C'a augure bien des bons moments de lecture à venir.


Vera da Pozzo sur le forum le 24/03/09

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Éditions : Aralia

Lavinia Disparue

Anna Banti

 

Présentation de l'éditeur : 
Qu'est-il advenu de Lavinia, l'orpheline ? Dans une maison de Chioggia, longtemps après sa disparition, ses amies Orsola et Zanetta se souviennent de la vie au couvent de la Pietà, l'un des hauts lieux de la musique sacrée à Venise, des heures de répétition sous la baguette du sévère Vivaldi, et d'une promenade aux Zattere après laquelle leur compagne, qui voulait que la musique fût davantage qu'un simple devoir d'élève, disparut pour toujours. Lavinia enfuie, que reste-t-il de son destin, de sa passion frustrée, de ses rêves ?

Anna Banti (1895-1985), dont toute l'oeuvre ou presque est consacrée à des destins de femmes, a donné avec ce texte, unanimement salué en Italie comme l'un des chefs-d'oeuvre de la prose du vingtième siècle, la quintessence de son art envoûtant et raffiné de narratrice.

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Connaissez-vous cette nouvelle d'Anna Banti ?
Je l'ai découverte à la bibliothèque de ma petite ville. Elle est parue en Italie en 1952 dans le recueil "Le Donne muioino" (Les Femmes meurent) et éditée en France en 1996, chez Aralia.

J'ai beaucoup aimé ce texte écrit dans une très belle langue (bien sûr, il faudrait pouvoir le lire en italien), avec une structure temporelle originale.
L'évocation de la vie des orphelines à la Pietà est très vivante et c'est un sujet, il me semble, peu traité en littérature. Quant à la jeune Lavinia, habitée par l'exigence de "sa" musique, mais qu'on oblige à s'effacer, c'est un personnage qu'on ne peut oublier.
Macha sur le forum le 20/12/07

Pour en revenir à ce charmant petit livre: "Lavinia disparue"!
Je dis bien: charmant...exquis, délicat...tout ce que vous voudrez dans ce registre!
Comme ces jeunes femmes sont attachantes...
Simplicité...des coeurs purs...la musique...effectivement...dommage de ne pas lire l'italien...
A lire...tout simplement...pour le charme qui se dégage de cette petite nouvelle...
Martine sur le forum le 22/08/08

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Éditions : Albin Michel

L'Oracle della Luna

Fréderic Lenoir

 

Présentation de l'éditeur :  «Contemple, Giovanni, ton tragique et lumineux destin.
L'acceptes-tu ?»
Qui est Luna, la belle sorcière aux cheveux de feu ?
Quelle malédiction frappe le blessé retrouvé dans sa cabane des Abruzzes ?
Qui sont les hommes masqués de noir acharnés à sa perte ?
Quelles paroles terribles dissimule ce mystérieux parchemin qui ne doit surtout pas arriver jusqu'aux mains du pape ?
Au coeur d'un XVIe siècle hanté par les querelles religieuses et philosophiques, le nouveau thriller historique de Frédéric Lenoir nous entraîne des palais aux prisons de Venise, du Mont Athos au bagne des corsaires d'Alger, de Jérusalem au ghetto de Chypre. Un grand roman d'amour et d'aventures où passion, mort, mystique chrétienne et soufie, astrologie et kabbale rythment la quête initiatique de Giovanni, le jeune paysan qui avait osé lever les yeux sur la fille des Doges.

Frédéric Lenoir est philosophe, historien des religions et romancier. Son premier roman, La Promesse de l'ange (coécrit avec Violette Cabesos), couronné par le prix des Maisons de la presse, a connu un succès international.

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Evil or Very Mad

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je suis en train de le lire presque terminé d'ailleurs ! HELAS !
il est passionnant ce livre je vous le conseille !
Laurett sur le forum le 06/12/06

j'ai commencé la lecture de ce bouquin...jusqu'à présent ça me plait...
Barocco sur le forum le 22/05/08

C'est un livre magnifique. Je crois qu'il y a déjà un sujet sur lui car il est sorti au printemps dernier (2007)
Frédéric Lenoir avait écrit auparavant "la Promesse de l'Ange" sur le Mont Saint Michel qui est tout aussi remarquable.

Il sait allier le suspense, l'aventure et la quête spirituelle pour le plus grand bonheur du lecteur. Et attention, ça n'est pas du tout dans la veine du Da Vinci Code (qu'il a d'ailleurs réfuté dans un essai). Lenoir a de solides connaissances en histoire des religions et il met remarquablement en scène ce savoir sans que ce soit lourdement didactique. On trouve ici une superbe exposition des croyances au 16ème siècle dans un récit foisonnant animé par personnage épique: vraiment, un beau récit!
Blandine sur le forum le 22/05/08

Très bon bouquin dorénavant plus léger car il vient de sortir en poche : de l'Histoire, de la romance et une lecture fluide ....
Chris sur le forum le 22/05/08

je dois dire que cette lecture est passionnante et l'analyse de Blandine est parfaite...
Barocco sur le forum le 11/06/08

Effectivement, c'est un excellent livre d'aventure avec un grand A...
Bien plus passionnant que "La promesse de l'ange", même si ce dernier est un remarquable livre!
Les aventures de ce fameux Giovanni sont étourdissantes et menées à une allure ébouriffante qui ne laissera personne insensible, même si l'histoire se passe plus souvent en dehors de Venise.    A lire sans hésiter... Wink
François sur le forum le 23/08/08

Je mentirais en disant que je n'ai pas aimé, d'ailleurs j'ai pris mon temps pour le lire....3 soirées..c'est tout dire...l'intrigue est belle qui déclenche ce chemin initiatique que j'ai suivi avec intérêt tout en décrochant par moment.( nul n'est parfait) ...parce que j'avais hâte d' avancer dans le vie du héros. Ah, les philosophes grecs ! madame, si j'avais su , j'aurais bien mieux étudié mes leçons....l'astrologie, le merveilleux Mont Athos... tant d'émotions distillées au fil des pages. et, Dieu, que ces anciens n'étaient pas tendres........ Embarassed
Romantique? Mystique? ce livre est pour vous.......... Very Happy
Danielle sur le forum le 30/08/08

Hé bien moi je viens tout juste de le lire.
T.O. (Totale osmose) avec tous ceux qui en on parlé : j'ai vraiment beaucoup aimé
Very Happy
Catherine C. sur le forum le 03/02/09

Zen Razz

Macha coeur

 

 

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Éditions : Fayard

Le Rendez-vous de Venise

Philippe Beaussant

 

Présentation de l'éditeur : 
A la mort de son oncle, Pierre découvre son cahier secret. L'oncle Charles, un érudit austère et passionné seulement par la peinture, évoque son amour pour une certaine Judith. Pierre part à la recherche de cette femme et découvre peu à peu son oncle sous un autre jour.

Lu

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Evil or Very Mad

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j'ai terminé ce rendez-vous.........style impeccable, écriture élégante ( de quel droit dirais-je le contraire du critique professionnel d'autant que je ne connais pas les autres livres de cet auteur) ...l'intrique est sympathique et la fin se laisse deviner ..Je trouve d'ailleurs qu'il y a là quelques raccourcis qu'il eut mieux valu placer plus avant dans le récit..très nombreuses références à des tableaux connus et moins connus ( donc on peut donc se documenter, ce que je n'ai pas manquer de faire, ça fait partie du plaisir )
Un roman qui navigue avec élégance entre une histoire d'amour et celle de la peinture.
Un livre à lire, bien entendu...
Danielle sur le forum le 30/08/08

Macha Razz

 

 

 

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Éditions :  Presse de la Cité

L'Or de Venise

d'Evelyne Deher

Présentation de l'éditeur :  Venise ..au dix-septième siècle.
Qui convoite l’or de la Sérénissime République, et qui le défendra ?
Passions tumultueuses, amour tendre, violence, luxe et pouvoir animent ce roman envoûtant. Hauts dignitaires, aventuriers , marchands et gens du peuple sont emportés dans une folle ronde vénitienne. Dans l’ombre le drame se prépare. L’intrigue se noue, angoissante, et nous tient en haleine jusqu’à la dernière page.

En 1618, éclatait à Venise la conspiration du marquis de Bedmar, qui fit grand bruit dans toute l’Europe. Les archives de la Sérénissime l’ont occultée, mais des traces ont subsisté, qui ont permis à Evelyne Deher de forger la trame de cet éblouissant roman.

Elle a voulu ressusciter la Venise des Doges et y a magistralement réussi. S’appuyant sur une documentation considérable, allant s‘imprégner sur place de « l’air de Venise « elle en a fidèlement recréé la vie avec ses traditions, ses fastes et son état d’esprit.
Au talent de l’auteur s’allie une profonde vérité des caractères et un grand sens de l’Histoire, servis par une écriture tout à tour violente, tendre, poétique et passionnée. Et sous nos yeux renaissent toutes les splendeurs de Venise.

Lu

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Evil or Very Mad

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L’auteur sait rendre ses personnages intéressants. L’intrigue est bien menée et retient l’attention . Un bien bon moment de lecture !
Danielle sur le forum le 09/10/08

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Éditions : Anacharsis

La taverne du Doge Loredan

d'Alberto Ongaro

 

Présentation de l'éditeur :  Dans un palais fané de Venise, Schultz, éditeur typographe au passé imprécis de capitaine de marine, mène une existence désenchantée jusqu’à la découverte d’un manuscrit oublié. À la lecture de ce mémoire, Schultz se trouve projeté dans le Londres du début du XIXe siècle. Un parallèle troublant s’établie alors entre sa propre vie et cette fiction où le héros, Jacob Flint semble dévoré d’une passion fiévreuse pour une volcanique Nina, patronne de la Taverne du Doge Loredan et maîtresse d’un infâme dandy pourrissant harcelé par deux corbeaux parlants...

Ongaro, parcourant librement les labyrinthes de la narration, réveille ici le vent puissant de l’aventure selon Casanova, Stevenson et Borges, et s’impose comme un maître de l’art de la fiction.

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Evil or Very Mad

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Né et demeurant à Venise, Alberto Ongaro célèbre romancier et journaliste, a été l’ami et le complice d’Hugo Pratt.
La Taverne du Doge Loredan , véritable succès national en Italie est son deuxième roman traduit en français, après La Partita, roman fellinien.
je viens d'acheter ce livre qui a l'air bien tentant, donc le rapport de lecture est à venir.
Véra da Pozzo sur le forum le 25/01/07

Mille mercis pour cette découverte, Vera! Very Happy

Jubilatoire!
L'auteur nous décortique le plaisir de la lecture.
" Le lecteur...pourrait être le personnage le plus important de tout livre..."
L'étrange symbiose entre le lecteur et sa lecture.
Comme opèrent les parfums, les images, la musique,
ainsi opèrent les mots, les histoires, l'écriture dans l'âme de celui qui lit.

Le tout écrit avec une déroutante ponctuation qui enivre,
d'une traite, sans paragraphe.
Une histoire où nous lecteurs avons notre place.
Une histoire où l'on ne s'étonne pas de converser avec les corbeaux,
où l'on pardonne à un moine cyclope...
où l'on tombe amoureux d'une femme en cire...
Une histoire où déjà les noms des protagonistes, comme le souhaite l'auteur, nous font rêver:
la Nina, Jacob Flint, Fielding, le commandant Viruela, Dick et Severino, Schultz et Paso Doble...

Et puis Venise, bien sûr! Wink Venise sous la neige...

Bref, n'hésitez pas une seconde...pénétrez dans la taverne du Doge Loredan:
" Des grappes de fiasques de vin, de saucissons, de jambons et de coppas pendaient au plafond au-dessus du comptoir,
à côtés de tresses d'ail et d'oignons et de filets de pêche où semblaient se débattre quelques espadons empaillés
et de grandes barriques placées çà et là et un parfum de sauces en tout genre(...)et la présence invisible
des haricots, des seiches, des petits calamars, des viandes cuisinées en ragoût, du barolo, du tokay."
Stef* sur le forum le 25/01/07

Barocco Razz

Zen coeur

Macha Razz

 

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Éditions : Lafond

L'enfant de Venise

de Kay Mc Cauley

 

Présentation de l'éditeur :  Venise, 1546. Un bébé abandonné dans un couvent se défend de mourir et, par la seule force de sa volonté, il vivra. Le petit Marino a reçu en partage un don celui de susciter l'amour. A mesure qu'il grandit, il attire les hommes et les femmes qui croisent son chemin, de l'immortel Lelio à l'alchimiste fou, des princes machiavéliques aux êtres les plus fragiles. Pourtant ce sentiment est un leurre : personne n'aime cet enfant pour lui-même mais parce que son visage, par un étrange sortilège, renvoie à chacun le souvenir d'un amour perdu. Lorsque la cité des Doges est frappée par une épidémie inexplicable, que les flots de la lagune menacent d'engloutir la population, les espoirs des habitants se tournent vers Marino, car ils voient en lui la réincarnation d'un saint qui, des siècles auparavant, s'est sacrifié pour eux. L'Enfant de Venise: une fable troublante sur l'amour et l'immortalité.

Lu

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Evil or Very Mad

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Première impression.... Livre étrange, onirique, froid et humide , qui ne nous fait pas (ou très peu) découvrir Venise, mais des personnages, incarnant le Bien, le Mal, la quête d'amour et d'éternité... Je ne suis pas sure d'avoir compris la finalité du roman.... On attend quelque chose qui n'apparait qu'à la fin, et encore... ce n'est pas très clair... Il y a de petits miracles, de grosses supercheries, des cadavres à chaque coin de page... impression un peu glauque... Un peu, je dis bien un peu, dans "l'esprit" de L'Amant Sans Domicile Fixe.... mais néanmoins sans comparaison...On n'en ressort pas très gai!!
Mérite sans doute une deuxième lecture..
Ticha sur le forum le 26/09/06

trouvé par hasard à Lidl ce soir : l'enfant de Venise de Kay Mac Cauley
Je ne l'ai pas trouvé dans la bibliothèque du Campiello...
Labeuquette sur le forum le 01/09/08

Eh bien, c'est un livre qui, contre toute attente, se défend tout à fait. Un parcours croisé entre les époques et les couches sociales à Venise, mais aussi entre deux personnages (Marino, l'enfant qui séduit ceux/celles encontre au premier regard et Lelio, un immortel haut en couleurs).
Les ressorts de la ville et les avanies auxquelles elle est exposée (la Peste par exemple) sont suffisamment enlacés dans l'intrigue pour le lecteur y trouve grain à moudre sans sortir la boîte d'aspirine.
Un bel équilibre trouvé par une écriture régulière et une traduction attentive.
Aramis sur le forum le 02/09/08

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Éditions : Complicités

Le nain des Noces de Cana de Véronèse

de Daniel Huguenin

 

Présentation de l'éditeur :  Venise, 1563. Une aventure est née. Sollicité par l’architecte Palladio, Véronèse met en place, au réfectoire des Bénédictins de San Giorgio Maggiore Les Noces de Cana. En sculpteur de la couleur, Véronèse construit dans son immense toile un éblouissant hymne à la fête : ce n’est pas en Galilée mais dans un palais vénitien que le mariage sera célébré.
Daniel Huguenin puise son inspiration dans la genèse et l’incroyable odyssée qu’a connue ce tableau. Il confie le rôle de narrateur au personnage de la toile le moins attendu : le nain installé juste en face des mariés. Naïf, curieux et rusé, le nain est un passionné d’histoire vraie autant que d’anecdotes. Partenaire presque invisible, il accède aux nombreux mystères dissimulés dans l’ombre et dans l’oubli. Un autre regard sur l’art italien.

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Evil or Very Mad

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 C'est la visite de la Fondation Cini dimanche dernier avec Blandine qui m'a fait m'en souvenir, quand au fond de l'immense salle du réfectoire est apparu l'immense toile de Véronèse. C'est vraiment réussi et spectaculaire, même le nez dessous, on a vraiment l'impression d'avoir l'original devant soi (les reflets, le relief). Shocked Shocked

Ce petit livre est un vrai délice dans mon souvenir, je vais remettre la main dessus et le relire.
Véra da Pozzo sur le forum le 24/08/08

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Éditions : Memor

Tornade sur Venise

de Roma Bognolo

 

 

Présentation de l'éditeur : 

Le 11 septembre 1970, une tornade s'abat sur l'île de San't Elena à Venise. C'est le point de départ de cette histoire où Giorgo et Lisa se quittent. Elle prend le motoscaphe et lui rentre à la maison. Peu après, Giorgio apprend qu'une catastrophe est arrivée. Une tornade a fait couler un motoscaphe. Ne sachant si son amie est victime de cet accident, Giorgio va passer toute une nuit à rechercher Lisa..

 

Lu

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Evil or Very Mad

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cette histoire tirée d'un fait réel qui endeuilla Venise le 11 septembre 1970. C'était tellement passionnant que j'ai lu tout hier soir jusque très tard........belle écriture, belle histoire....jusqu'au bout on est tenu en haleine
Danielle sur le forum le 30/09/08

je suis en train de le lire..lentement..vu toutes mes occupations diverses..ces derniers jours... et je dois dire que ce livre est assez captivant...  une chose est sûre...je ne monterai plus dans un vaporetto avec la même quiétude lors d'une journée menaçante...
Barocco sur le forum le 05/11/08

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Éditions : J’ai lu

Vaporetto 13

de Robert Girardi

 

Présentation de l'éditeur :  Jack Squire, jeune courtier Américain, est envoyé en mission à Venise. Lors d'une errance insomniaque dans l'une de ses nombreuses ruelles étroites, il rencontre l'intrigante Caterina Vendramin, une jeune et belle inconnue qui porte en elle la souffrance de ses ancêtres, les Barnabotti, autant qu'elle exprime toute la nostalgie des fastes d'antan de la Sérénissime.
Le mystère que dégage cette femme étrange, semble renaître chaque nuit d'une époque révolue pour nourrir les chats de la Cité des Doges, l'attire inexorablement. Obsédé par cette fascinante silhouette, Jack bascule peu à peu et plonge dans un univers interlope où le passé se mélange inextricablement au présent

Lu

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Razz

Laughing

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Evil or Very Mad

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On trouve en effet une certaine part de vérité dans cet ouvrage, en particulier les allusions à Paolo Sarpi, ce moine qui soutint la République durant le dernier interdit papal de 1605. Cependant, tout le style de l'auteur est très.. euh... onirique (j'emploie ce terme à défaut de mieux). Il nous fait nous aventurer dans une Venise sombre, décadente, perdue dans les brouillards de l'hiver... C'est un bon livre mais néanmoins très imprégné d'une certaine idée romantique sur Venise, la ville qui se meurt... C'est le plus grand reproche que je puisse lui faire...David

lecture terminée hier soir.....je dirais que ce livre m'a permis de supporter agréablement deux fois 1h20 de train banlieue....un peu déroutant et ..mais on y parle de Venise abondamment....et il vaut mieux connaître la ville et ses arcanes pour apprécier entièrement ou à mitan ce récit fantastique ..et un rien morbide ..car on comprend bien vite de quoi il retourne  Danielle

..."Vaporetto 13"....c'est cool...!
J'ai bien aimé....  Stef*

j'ai bien aimé ce roman ..son atmosphère...et ses personnages...une belle et étrange balade dans la Venise nocturne....Barocco

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Éditions : du Seuil

Venise en hiver

Emmanuel Roblès
de l'académie Goncourt

 

Présentation de l'éditeur : 

L'Italie d'aujourd'hui est présente dans ce livre, fiévreuse, inventive, tragique et burlesque, et elle irrigue de sang brûlant cette ville-Ophélie, dont nous découvrons les vrais habitants, mystérieux, minables et cependant prestigieux, que lentement les eaux putrides entourent et engloutissent. Venise en hiver, ses brumes, ses pluies et ses neiges, c'est un grand rêve heurté et vivifié par la vie moderne. Heureusement voici Lassner et Hélène, enlacés, comme le premier, comme le dernier couple du monde.

Michel Tournier

Lu

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Laughing

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Evil or Very Mad

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J'ai beaucoup aimé ce livre d'amour et de mort sur fond de terrorisme dans une Venise embrumée, enneigée, vidée de ses touristes. Des personnages hors du commun, excentriques et attachants dans l'atmosphère si spéciale de la Sérénissime.
Françoise

 Macha Razz

 

 

 

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Éditions : Flammarion

Le sang de Venise

de Maud Tabachnik

Présentation de l'éditeur : 

Avril 1575. Derrière les murs du Ghetto de Venise vit enfermée la communauté juive de la ville. Le cadavre d’un enfant est découvert près d’une de ses portes. Aussitôt, attisé par un moine franciscain fanatique, naît la rumeur de crimes rituels. Venise la rebelle voit là une occasion de satisfaire les exigences de Rome qui, depuis longtemps, lui ordonne de se débarrasser des juifs.

Une femme, Rachel da Modena, va se dresser contre les intérêts de la République, les préjugés, la haine et tenter de découvrir le tueur fou qui terrorise la ville.

Dans Venise la perfide, Venise la folle, Rachel risque sa vie comme son honneur.

Lu

coeur

Razz

Laughing

Sad

Evil or Very Mad

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Captivant et instructif, un roman terrifiant qui nous entraîne dans les arcanes de la politique machiavélique de la République dans ses relations avec Rome.
Un roman comme savait les écrire A. Dumas
Jean-Antoine (Jas)
Razz

Danielle Razz

Labeuquette coeur

Barocco coeur

Zen coeur

Laurett coeur

Martine coeur

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Éditions : JC Lattès, 2000

Le Gondolier d’Elisheva 

d’Alfred HART

Présentation de l'éditeur : 
Venise, 1630. La cité des Doges, rayonnant aux quatre coins de la Méditerranéenne, semble s’endormir sous le poids de sa splendeur lorsque frappe coup sur coup la peste et la perte de l’île de Candie, le lointaine et merveilleuse Crète.

Petite fille juive, née dans le ghetto, sauvée miraculeusement de l’épidémie, adoptée par l’une des vieilles familles de la ville, Elisheva, baptisée sous le nom d’Angélina, connaîtra les ultimes fastes de la « Sérénissime ». Mais, en tombant amoureuse de Francesco, un jeune officier des fidèles régiments corses, éconduits par la papauté, défendant avec bravoure Venise contre les Ottomans, toujours en partance pour de nouvelles batailles, elle apprendra également comment toute vie mêle nécessairement passions et tragédies.

Lu

coeur

Razz

Laughing

Sad

Evil or Very Mad

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Alors, là...Dominique M....tu touches juste avec ce "Gondolier d'Elisheva"...
J'ai tout simplement "ADORE"!!!
Pourquoi???
Juste pour un petit truc...mais qui pour moi est beaucoup!
Voilà: dans ce livre...les personnages sont..."BONS"! oui: juste bons...de cette bonté qui part du coeur, cette bonté simple...parce qu'on déborde de tendresse, parce qu'on aime...aimer...sans préjugés.
Quel beau livre...et comme il m'a plu! coeur
Oh...lisez-le...vous verrez: enfin des sentiments qui font chaud au coeur, et sans aucune mièvrerie...pour moi, un vrai moment d'humanité...en fait, un vrai moment de bonheur Smile
Martine sur le forum le 28/08/08

Sa table des matières m'avait incité à acheter ce livre, même s'il s'agit d'un roman: "la vie au ghetto", "Venise en fête", "la vie à l'Arsenal", "la peste à Venise" ... autant de chapitres qui attisaient ma curiosité sur fond de roman historique, espérais-je. Hélas, déception!
Des personnages sur toile de fond vénitienne, bien sûr, mais qui n'ont pas réussi à me captiver; un peu de la vie à Venise, peut-être, mais rien de très aboutit finalement; alors pour tout dire un peu d'ennui à cette lecture .... dommage.
Dominique M. sur le forum le 09/10/08

Labeuquette  coeur

Danielle Laughing

 

 

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Éditions : Flammarion

"Le Testament du Titien"

d'Eva Prud'Homme

 

Présentation de l'éditeur : 
" Dans la Venise du XVIe siècle ravagée par la peste, Virgile Preudhomme et son ami Pierre assistent par hasard à l'agonie de Tiziano Veccellio, dit le Titien, l'illustre peintre presque centenaire, qui leur confie un secret : dans l'une de ses toiles il a immortalisé le plus horrible des meurtres.
...... l'auteur nous entraîne à travers une poursuite policière haletante dans une succession de péripéties rocambolesques où l'amour côtoie les plus noirs desseins. "

 

Lu

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Evil or Very Mad

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Pour ma part je suis sorti de ce livre raplapla,  les personnages sont des coquilles vides, l'intrigue avance à coup de papiers trouvés par terre, tous les protagonistes sont suspectés à tour de rôle pour aboutir bien entendu sur le plus improbable de tous !
La peste ? l'auteur n'arrive même pas à nous angoisser avec çà !
Alors, reste une intéressante promenade dans Cannaregio avec quelques anecdotes, que vous retrouverez dans "Visa pour Venise" racontées avec bien plus de verve et d'humour par James Morris ..... ben oui ! écrire c'est un métier !
Jean-Antoine (Jas) sur le premier forum en 2002

Je décrypte ce testament....ça me plaît dans une certaine mesure parce que je peux me promener dans des endroits que je connais ou que je vais connaître bientôt.Les protagonistes sont jeunes, agiles, souples; ils parcourent Venise de part en part....Je ne dirai rien de l'intrigue car je n'en ai pas encore la solution... Very Happy Very Happy Very Happy Very Happy
Mais je me sens un peu mal à l'aise par rapport à certaines incohérences.....savoir lire les émotions sur le visage du Titien alors qu'on se trouve dans une gondole, sur la lagune, en pleine nuit et que Titien à sa fenêtre se trouve dans le noir.....faut le faire!!!! fréquenter la peste de si près et sans protection....sans en être touchés ( enfin à ce stade de ma lecture....)........situer une histoire dans Venise sous entend que l'on en décrive aussi les us et coutumes, de ce côté là......nous sommes avertis et sans vouloir paraître prétentieuse, je crois que passionnés comme nous sommes, les passages "scolaires" nous font juste sourire mais tous les lecteurs ne sont pas aussi doudingues que nous!
La fin me laisse sur ma faim....et quelque peu perplexe..........ceux qui ont lu, comprendront!

en conclusion, je dirai que j'ai lu....avec plaisir...sautant , je l'avoue les explications historiques souvent de style scolaire et 'gonflant" .. c'est amusant de suivre les acteurs de cette enquête qui si elle ne satisfait pas tous les adultes, devrait plaire à des lecteurs adolescents...lesquels apprendraient ainsi bien des aspects de la vie vénitienne.......
Danielle sur le forum le 11/09/08

Eh bien voilà....405 pages avalées en 3 semaines ce qui est un score pour moi Laughing et qui tend à penser que ce livre n'est pas si mal !...
vers les 80 dernières pages , j'avais hâte de connaitre le fin mot de l'histoire et j'avais peur de ronger mon frein dans les dernières pages....
Et là l'auteur donne pratiquement dans des scènes à la James Bond Shocked Razz Laughing
(avec d'autres invraisemblances que celle déjà relevée par Danielle : par exemple des noeuds qui se distendent...sous l'eau ! Shocked en principe, comme disait Coluche, les noeuds mouillés : bon courage ! )
mais bon ça accélère le rythme final, tant mieux....

A partir d'un tableau, l'auteur a réussi a donné vie aux protagonistes de cette scène et créer une intrigue originale où fourmillent les suspects possibles ainsi que les mobiles....

c'est un bouquin qui ferait un excellent scénario pour une série de BD...c'est rapide, visuel Y a de l'action en veux tu en voilà, des gentils et les méchants etc.... T.O. avec vous Danielle ! Oublions vite cette fin assez illogique par rapport à l'énoncé initial....Allez hop, j'opte pour Olympia ! Après la scène au Bovolo, ya pas de raison !
Wagon-lits sur le forum le 02/10/08

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Éditions : Presses de la Cité

Le Masque de Venise

Rosalind Laker

 

Présentation de l'éditeur :  Venise la Sérénissime, aussi pervertie que belle et enivrante, brille au XVIII ième siècle de ses plus beaux feux. Une telle ville ne peut que fasciner Marietta et Elena, pensionnaires de la Pieta, un conservatoire qui accueille les orphelines et en fait des musiciennes accomplies. A 16 ans, les deux jeunes cantatrices ne pensent qu'à échapper aux religieuses pour se fondre dans la foule bigarée et masquée du Carnaval...
Elles ne savent pas encore qu'elles vont bientôt lier leurs destins aux héritiers de deux familles ennemies qui s'affrontent depuis des siècles et qu'elles seront alors entraînées dans un tourbillon d'aventures extraordinaires...

Lu

coeur

Razz

Laughing

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Evil or Very Mad

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J'ai lu ce livre découvert au hasard dans un rayon de libraire il y a plus d'une dizaine d'années... C'est lui le "déclencheur" qui m'a donné envie d'aller voir "en vrai" les lieux où se tramaient les rebondissements de ce roman, et voir à quoi le Carnevale ressemblait, des siècles plus tard... C'est comme ça j'ai fait ma 1ère escapade à Venise. (tiens, la 1ère fois, elle est "là", en 1995)
Depuis, croyez le si vous le voulez, à toutes les visites que j'ai pu rendre à Venise, il n'y a PAS UNE SEULE FOIS, et je pèse mes mots, où je n'ai pas à présent à l'esprit ce roman de Rosalind Laker, que ce soit lorsque je suis sur la Riva degli Schiavoni, ou dans l'église de la Pietà, ou lorsque j'écoute un CD d'une chorale vénitienne, ou,... etc, etc..... Les intrigues, les lieux, les images, que ce roman m'a permis de fabriquer, sont encore tous bel et bien présents dans ma mémoire active !
Donc je n'émets pas de réserve sur le réel coup de coeur que j'ai eu pour ce livre, et a qui, finalement, je dois beaucoup quant à ma "relation" avec Venise.
Je le recommande +++ même !
SAB sur le forum le 19/10/08

Effectivement SAB, c'est un excellent livre que j'ai dévoré il y a déjà un bout de temps et qui a une place de choix dans ma bibliothèque "spécial Venise" Very Happy
On est véritablement plongé dans la Venise du XVIII ème siècle avec ses intrigues , complots et vengeances en tous genres...
Un bon livre pour découvrir la face cachée de la Serenissima Wink
François sur le forum le 19/10/08

Alors, pour celles et ceux qui aiment les aventures romanesques..allez-y... il vous faut lire cette belle histoire qui se déroule dans la Venise flamboyante du XVIII ième siècle! Tous les ingrédients sont rassemblés pour vous faire passer un bon moment..
Vous aimez, Venise, c'est acquis! Vous en connaissez déjà les dédales et autres lacis de ruelles..vous suivrez donc facilement les héros dans leur déambulations. Il y a les beaux et les moins beaux( pas beaucoup) Les gentils et les moins gentils, les rivalités familiales, les jalousies , les haines entretenues( c'est pas nouveau) mais il y aussi la générosité, la bonté et puis il y a "l'Amour "dont on nous a encore dit récemment sur tous les écrans que... c'est lui qui doit conduire notre Vie...
L'auteur a construit un roman passionnant tout en se servant de l'histoire de cette ville vouée, à cette époque, aux plaisirs et à l'abondance...
Très bien documentée, elle n'a, à mon humble avis, commis aucune indélicatesse..elle réussit a maintenir l'attention en éveil ..jusqu'au dernier mot ! On aimerait que l'histoire continue encore....

Danielle sur le forum le 24/10/08

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Éditions : Le Livre de poche

La mort à Venise

Thomas Mann

 

Présentation de l'éditeur : 
En attendant le tramway à l’arrêt du cimetière, Gustav d’Aschenbach a le regard attiré vers un homme en costume de voyage. Est-ce par association d’idées ? Lui, le grave écrivain qui ne pense qu’à ses travaux, est pris d’un subit désir d’évasion.
Cette fantaisie le conduit à Venise où l’attend une passion tardive, violente et muette.
Tout milite en faveur d’un départ brusqué : ses principes, son œuvre à terminer, le choléra qui se déclare dans la ville.
Que choisir, la beauté et la mort ou la vie desséchée d’un gratteur de papier ?

Lu

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Laughing

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Je vais profiter d'un petit moment de détente pour retrouver Thomas Mann !!
Personnellement j'aime beaucoup cette nouvelle "La Mort à Venise" où je trouve que le lecteur se laisse totalement emporter par la fascination qu'exerce Tadzio, un jeune adolescent polonais, sur le héros Gustav von Aschenbach. Cet homme âgé, écrivain bavarois très célèbre, ne peut s'arracher à l'attirance dévorante qu'il éprouve pour la beauté de Tadzio et nous parcourons avec lui la plage du Lido et les ruelles de Venise simplement pour apercevoir Tadzio ou croiser son regard.
Comme j'ai aussi beaucoup aimé le film de Visconti (où Dirk Bogarde jouait le rôle d'Aschenbach), j'ai l'impression que les images du film et la superbe musique de Malher se superposent sur les mots pour donner encore plus de vie au récit.
Et lorsque vous irez sur la Plage de l'Hotel des Bains (ouverte à tous, soi dit en passant), vous chercherez peut-être comme moi le fantôme d'Aschenbach guettant Tadzio
....
Catherine C. sur le forum le 16/10/08

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Éditions : de l'Oxymore

Venise noire
Montpellier :
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Présentation de l'éditeur : 

Objet de haine viscérale ou d’amour fou depuis des siècles, symbole de mystère et de désir, Venise échappe à toute définition. Ses visages (ses masques ?) sont multiples, changeant comme l’eau sur laquelle elle est bâtie. Pour ce premier des Emblèmes consacrés aux villes mythiques, Léa Silhol a choisi la face sombre de la cité la plus fantasmée du monde. Ne la suivez dans les ruelles tortueuses et le long des insondables canaux  qu’à vos risques et périls, et avec un cœur amoureux des ténèbres…

Lu

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Evil or Very Mad

 

 

 

 

 

 

 

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Éditions : Profane,

Les Brumes pourpres de Venise

Wright, Daphné


 

Présentation de l'éditeur : 

Au sortir de la guerre, elles étaient nombreuses, les femmes sans nouvelles d’un père, d’un ami, ou, comme Julia, d’un mari tendrement aimé et porté disparu. .. Le jour où elle apprend enfin que son mari est vivant, elle doit également accepter sa décision de ne pas rentrer en Angleterre. Médecin, il a choisi de rester à Venise où des milliers d’enfants croupissent dans un orphelinat vétuste et démuni….

Lu

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Et moi je l'ai lu il y a bien longtemps, je n'en ai pas gardé un souvenir très vivace Crying or Very sad
Joëlle sur le forum le 18/10/08

98 ème page, et l'action se situe toujours....à Londres ! Confused
Wagon-lits
sur le forum le 18/10/08

T.O. avec Joëlle!
Si ce n'est la longue traversée de Venise au petit matin de la protagoniste complètement perdue..
Stef*
sur le forum le 18/10/08

3 semaines pile poil après le début de la lecture et voici mon petit rapport ! Laughing
Il y a l'héroïne Julia, avocate dans le Londres de l'immédiat après-guerre,
sa belle-sœur Constance, le mari de Julia resté à Venise, et l'amant de Julia : David rencontré à Venise lorsque Julia y rejoint son mari.... C'est une étude intéressante de caractères, de relations et de sentiments entre ces protagonistes, mais le campielliste reste sur sa faim...très peu de Venise...
Pour les amateurs de la collection Arlequin, en plus étoffé et moins "clichés".....
Wagon-lits sur le forum le 05/11/08

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Éditions : Albin Michel

Le roman de Venise

Agnès Michaux

Présentation de l'éditeur :  Venise. Ville mystère. Ville mirage. “Jolie fiancée de l’Adriatique” à laquelle bien des écrivains ont offert leurs plus belles pages et leur passion . Proust, Shakespeare, Hugo, Balzac, Voltaire, Nietzsche, Sartre, Casanova, Cocteau, Giono, Hemingway, Dante, Byron...ont succombé à la magie de la Cité des Doges, aux sortilèges de ses eaux et de ses brumes, aux rêves d’un Orient auquel elle a su se marier, aux plaisirs de ses fêtes, de son carnaval et de ses alcôves.

Agnès Michaux a voulu découvrir un visage différent de marbre et d’eau-ou plutôt tous ses visages, les multiples métamorphoses qui firent sa légende. Hors des circuits obligés et loin des cortèges touristiques, elle nous guide au coeur de la Sérénissime en compagnie de visiteurs éblouis. En 7 chapitres, son anthologie singulière nous convie à un véritable parcours initiatique au coeur d’une Venise où le rêve et la réalité ne se distinguent plus. Ainsi se révèle les facettes d’un mythe et les chapitres d’un long roman qui s’écrit à travers mille ans de littérature. Un roman d’amour et de mort, de décadence et d’érotisme.

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Des extraits littéraires choisis avec amour, qui donnent envie ou pas, de découvrir les ouvrage dont ils sont issus. Des textes parfois drôles, émouvants et qui quelquefois étonnent. 
Un plaisir à lire!
Chris.

Bandjo Sad

Barocco Razz

Martine Laughing

 

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