Dire que je suis un amoureux de Venise est un euphémisme .
Lorsque j'en suis revenu pour la première fois en décembre 1999 , je n'aurais jamais imaginé que la marque serait aussi profonde et durable . Cette douce blessure n'est pas prête de cicatriser , pour preuves les poèmes que j'ai composé qui ne me seraient jamais venus à l'idée avant . Incroyable ! Et j'ai bien l'impression que je ne suis pas prêt de m'arrêter . D'ailleurs , j'étais bien incapable de composer un sonnet , une chanson , etc.. Maintenant , je me lance dans l'écriture d'une fresque à 1000 vers . Doublement incroyable ! Alors , ce que j'ai rapporté de Venise est sur votre site complice :
Chez l'Oncle Tom
Mort à Venise? , Les Roses de Venise , Carnaval à Venise... , Ô ma jolie Vénitienne !
Si vous les avez lus , qu'en pensez vous ? Je n'ai pas grand chose à ajouter de plus . Ou plutôt si : que cette cité est belle à pleurer . A pleurer d'Amour .  
Cotton Gérard

Poèmes de Gérard Cotton sur le site : Veni etiam.....Venezia !  
                                                   et  : les Libellules

Comme les chiens ne font pas des chats ( de Venise ! ) , je vous envoie ce qu'écrivait mon lointain aïeul - comme moi amoureux , instruit , rêveur et bien seul - en Février 1884 , soit un an après la disparition de Richard Wagner . C'est ma grand-mère Élise qui a réussi à sauver ce texte , perdu dans les malles poussiéreuses des greniers de mes familles creusoises .

Nous avons un atavisme commun . Nos ancêtres ont été d'immenses bâtisseurs .


 Faruffini  "la gondole du Titien" 1861 détail

 Les miens ont participé à l'édification de Paris durant deux siècles . C'est d'abord à cause de ça que mes poils se sont hérissés lorsque j'ai remonté le Canal Grande pour la première fois , le 20 décembre 1999 . J'ai su que j'étais chez moi , en toute simplicité , au milieu d'une telle Grandeur . 

Le poème de : Jacques Cotton  ( 12 Février 1884 )        

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